A propos de nous

Parmi les missions que nous avons entant que ONG, 5 axes motivent notre dévouement :

Le développement durable des filières agricoles, alimentaires et forestières dans les zones rurales ; La qualité et la sécurité de l’alimentation ; la santé animale et végétale:

– L’enseignement et la recherche agricoles.
– La production et la transformation des produits agricoles
– La gestion durable de la forêt et de ses produits
– La production et la transformation des produits d’elevage
– Le développement et l’animation des territoires ruraux
– La législation du travail et la protection sociale agricoles
– L’agriculture et la forêt peuvent contribuer de 20 à 60% au potentiel d’atténuation des émissions de GES d’ici 2030. La préservation des terres agricoles permet de réduire de 8 à 10 millions de tonnes de CO2.

L’évolution des pratiques en agriculture permet de réduire de 12 à 15 millions de tonnes de CO2 avec l’élevage (couverture des fosses, torchères, méthanisation, alimentation), la fertilisation (précision des apports, azote organique), et le stockage du carbone dans les sols (couverture des sols, travail du sol simplifié, allongement des rotations). Pour répondre aux enjeux climatiques et de la sécurité alimentaire, le CADAC
par son Président fondateur Chabrel Brejnev NKOLI lance l’initiative (1 Congolais pour 10 arbres) un projet qui s’inscrit dans le cadre du plan d’bienactions de reboisement et la sécurité alimentaire.

Sur le climat : si on augmente de 0,4% par an la quantité de carbone contenue dans les sols, on stoppe l’augmentation annuelle de CO2 dans l’atmosphère.

L’agriculture revêt un caractère stratégique pour l'avenir du monde, par conséquent : elle est à la base de la sécurité alimentaire et doit en effet développée des approches pour permettre la construction d’un fondement du développement économique par la mise en place des Organes de Développent Durable (ODD).

Parmi nos projets, il y’a :

Agriculture :
> Plantation des vergers et transformation des fruits en jus ;
> Plantation et transformation de la tomate en conserve ;
> Plantation Maïs, Riz, Haricot, Noix de palmes (pour huile) ;
> Plantation d’Oignons, Ails, Piments, Ciboulette, Poivre, Carotte,

Elevage :
La construction des fermes modernes dans les 12 départements du Congo.
> Production de poulets de chair et transformation ;
> Production des pondeuses et œufs ;
> Elevage des pintades etc.

Pisciculture :
Mise en place des étangs.
> Etangs à reproductions pour l'élevage des poissons géniteurs;
> Etangs frayères pour la production d'œufs et de jeunes silures;
> Etangs à production des poissons carpes de plus grandes tailles etc.

Apres production, ces poissons seront utilisés à plusieurs fins utiles telles que la
transformation en boite de conserves le (Maboké Congolais).

CADAC s’engage, dès lors de mettre en œuvre une stratégie pour que les paysans
parviennent le plus rapidement possible à alimenter leurs localités par ses propres
ressources agricoles. Poussé par la mise en place des formations, pour un choix orienté vers une agriculture productiviste qui radicalement tournerait le dos à l’agriculture paysanne traditionnelle Congolaise. Cette agriculture dite moderne s’est notamment appuyée sur les 7 principes suivants, qui d’un point de vue sémantique ont fait progressivement basculer la majorité des fermes en exploitations agricoles :

1- l’agrandissement de la surface agricole utile des fermes : acquisition croissante de
nouvelles terres ;

2- la mécanisation des fermes : augmentation de la part de machinisme agricole thermique, notamment l’achat d’un nombre de plus en plus important de tracteurs et d’engins agricoles divers ;

3-l’augmentation des investissements globaux : extension des éléments supports des productions, tels que les bâtiments ou les stabulations en élevage ;

4-l’augmentation de la part de chimie de synthèse : les apports organiques tels que le fumier se sont de plus en plus vus substitués par des intrants de synthèse et le traitement des plantes s’est de plus en plus effectué par de la chimie de synthèse ;

5- la spécialisation des exploitations : les fermes, qui reposaient la plupart du temps sur un système polyculture-élevage, se sont progressivement spécialisées dans une ou plusieurs productions, ces dernières étant écoulées dans le cadre d’une filière qui intègre l’exploitation;

6- la déterritorialisation : à travers la mise en place des nouvelles pratiques agronomiques, les exploitations agricoles se sont progressivement affranchies du terroir.

7-l’endettement : le changement d’échelle et les lourds investissements évoqués dans les points précédents ont contraint un nombre croissant d’agriculteurs à contracter des prêts.